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Le 25/07/2022
INFORMATION BILLETTERIE TRIBUNE COUVERTE

Nous vous informons que la billetterie par email pour la tribune couverte est définitivement fermée.

Il n’y a plus de place disponible pour le samedi 30 et le dimanche 31 juillet dans cette tribune couverte.
Pour réserver vos places pour le jeudi et le vendredi, vous pourrez le faire à partir de jeudi matin, directement depuis la boutique des Estivales dans le village Exposant. Il reste quelques places de disponibles dans cette tribune couverte.
Vous pouvez télécharger la feuille des tarifs 2022 ici.

Le reste des tribunes et du site sont en accès libre.

Jumping de Dinard 2021. Rolex Grand Prix de Dinard.
Martin FUCHS (SUI). CONNER 70
Photographie Eric KNOLL

Lors du Jumping International de Dinard, Martin Fuchs (SUI), qui fêtera son trentième anniversaire le 13 juillet, aura à coeur de défendre son titre de vainqueur du Rolex Grand Prix qu’il remportait avec Conner Jei (Conner 70) en 2021.

Fils du cavalier international Thomas Fuchs et de Renata, championne de Suisse élite en 1980, neveu de Markus Fuchs, Martin a rapidement marché dans les traces de ses aînés. A 18 ans, il remporte l’or par équipes aux Jeux olympiques de la Jeunesse à Singapour en 2010 avec Midnight Mist. Depuis, Martin Fuchs n’a cessé d’enchaîner les succès. Avant d’aborder le très haut niveau en catégorie senior, le jeune prodige avait déjà glané neuf médailles européennes chez les Children, Juniors et Jeunes cavaliers.

En 2014, il est sacré champion de Suisse senior et remporte son premier Grand Prix 5* à Paris. En 2017, il pointe à la 4e place de la Finale Coupe du monde à Omaha avec son fidèle gris Clooney 51, avec lequel il participe également à la 4e place de l’équipe suisse lors de la Finale de la Coupe des Nations. En 2018, toujours avec Clooney 51, il est sacré vice-champion du monde aux Jeux Equestres mondiaux de Tryon et en 2019, il décroche l’argent à la Finale Coupe du monde de Göteborg, la médaille d’or à l’Euro de Rotterdam et remporte sa première victoire du Rolex Grand Prix du CHI de Genève. Une nouvelle performance qui contribue à le hisser à la tête du classement mondial en janvier 2020. En 2021, Martin remporte le Rolex Grand Prix de Dinard avec Conner Jei, qui a rejoint ses écuries depuis novembre 2020. Quelques semaines plus tard, le Suisse se pare d’argent en individuel et d’or par équipes au championnat d’Europe de Riesenbeck avec Leone Jei. Martin Fuchs continue sur sa lancée et s’impose une nouvelle fois lors du CHI de Genève 2021 avec Leone Jei.

La saison 2022 a débuté sous les meilleurs auspices pour le cavalier Suisse qui s’est adjugé la victoire dans la finale de la Coupe du Monde 2022 à Leipzig avec Chaplin et The Sinner en avril, puis a remporté, en juin, le Grand Prix CSIO5* de Saint-Gall avec Conner Jei.

En 2021, lors de sa victoire dans le Rolex Grand Prix de Dinard, premier grand prix à ce niveau pour Conner Jei, Martin Fuchs confiait : « Conner est sans doute l’un des meilleurs chevaux que j’ai eu l’occasion de monter à ce jour ». Tous les voyants sont au vert pour le jeune prodige Suisse, Témoignage Rolex depuis 2018, attendu au Jumping international de Dinard, du 28 au 31 juillet prochains.

Steve Guerdat (sui) – Crédit E. Knoll

Du 28 au 31 juillet, le stade du Val Porée paré de rose pour l’occasion, accueillera les meilleurs cavaliers et chevaux de saut d’obstacles pour son traditionnel Jumping international de Dinard. Un rendez-vous incontournable du calendrier équestre mondial, qui fait chaque année le plein de champions !

En effet, nombreux sont les médaillés olympiques qui, un jour, ont foulé cette mythique piste en herbe du Val Porée. A commencer bien sûr par l’équipe de France médaillée d’or aux JO de Rio en 2016. Depuis, Kevin Staut, Pénélope Leprevost, Philippe Rozier et Roger-Yves Bost, manquent rarement le concours breton et ils ne sont pas les seuls. Depuis des années, le Jumping international de Dinard reçoit la visite du gratin de la discipline. Et l’année 2022 ne dérogera pas à la règle.

Les spectateurs du Jumping international de Dinard ont déjà pu assister aux performances des cavaliers d’Outre-Atlantique, Elizabeth Madden et Kent Farrington, médaillés d’argent par équipe aux JO 2016 ou encore du Hollandais Marc Houtzager, médaillé d’argent par équipe aux JO de Londres en 2012. L’Allemand Christian Ahlmann, médaille de bronze par équipe aux JO 2016, a fait une halte à Dinard, quelques mois avant l’échéance olympique, où il s’est d’ailleurs adjugé le prestigieux Grand Prix. L’équipe Belge médaillée de bronze aux JO de Tokyo en 2021 : Gregory Wathelet, Jérôme Guéry et Pieter Devos a elle aussi foulé la piste en herbe du Val Porée. Le champion olympique 2012, le Suisse Steve Guerdat, s’est aventuré en terre bretonne en 2017. Cette même année, il se classait 7e du Rolex Grand Prix. Depuis, le Suisse n’a pas manqué une occasion de revenir au Jumping international de Dinard, croisant notamment en 2018, McLain Ward, vainqueur du Rolex Grand Prix de Dinard, mais surtout médaillé d’argent par équipe à Tokyo l’an dernier. A noter que le Rolex Grand Prix de 2018 a vu pointer à la 2e place l’un des membres de l’équipe parée d’or olympique en 2021 : le Suédois Henrik Von Eckermann et qu’il a été aussi le témoin d’une belle performance du champion olympique 2008, le canadien Eric Lamaze

D’autres encore ont également galopé sur la mythique piste du Val Porée : Pierre Durand, médaillé d’or aux JO de Séoul en 1988, associé à l’époque à son légendaire Jappeloup, a fait l’honneur de sa présence lorsque le concours breton était encore labellisé CSIO de France. De même le Brésilien multi médaillé Rodrigo Pessoa, champion olympique 2004 avec son célèbre Baloubet du Rouet ou encore celui qui allait revenir de Rio avec une médaille d’or individuelle : le britannique Nick Skelton associé à son talentueux Big Star.

Depuis 110 ans, le Jumping international de Dinard contribue à écrire l’Histoire du saut d’obstacles mondial pour le plus grand plaisir des passionnés et du public qui ne s’y trompe pas.

Le 16/07/2022
INFORMATION BILLETTERIE TRIBUNE COUVERTE

Nous vous rappelons que la billeterie ne concerne que la tribune couverte.
Nous vous informons qu’il n’y a plus de place disponible pour le samedi 30 et le dimanche 31 juillet dans cette tribune couverte.
Pour réserver vos places pour le jeudi et le vendredi, merci d’envoyer un email à Axel MARS.
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Le Derby de la Laiterie de Montaigu, un défi relevé par Andres Verrecke

Lors de cette édition 2021, la Laiterie de Montaigu, fidèle partenaire du Jumping International de Dinard depuis près de dix ans, associait pour la première fois son nom au spectaculaire Derby. Une épreuve labellisée CSI3*, qui attire chaque année une foule enthousiaste de connaisseurs au coeur du stade équestre du Val Porée.

Treize couples de huit nationalités différentes avaient choisi de relever le défi technique. Le chef de piste Jean-François Morand avait concocté à leur intention un parcours long de 1100 m, soit près du double d’un tracé classique, émaillé de vingt et un obstacles (24 sauts) à 1,45m, à la fois mobiles de type verticaux, oxers… mais aussi naturels et donc fixes tels que buttes, contrebas, haies, rivière et talus breton. Le tout à franchir sans faute et dans un temps imparti de tempo soutenu de 176 secondes.
Après avoir bouclé le seul parcours sans pénalité en un temps de 171’’31, le cavalier belge de 24 ans, Andres Vereecke, s’est imposé aux commandes de sa jument de 10 ans Die Gute Folia. Ravi pour sa première participation au Jumping International de Dinard, le jeune homme basé près de Gand avec une vingtaine de chevaux, montait également un Derby pour la première fois de sa carrière et s’est promis de revenir en 2022.
Le cavalier irlandais Dermott Lennon, en selle sur Gelvins Touch, s’est classé à la 2e place avec un score de 4 points et un chrono de 172’’23.
Meilleur français et classé 3e de l’épreuve avec Ascot des Ifs, 11 ans, Thomas Rousseau, installé à Pont l’Evêque (14) qui participait pour la 3e fois en douze ans au Derby de Dinard. « Il faut disposer de chevaux qui s’adaptent à ce genre de difficultés, ce qui n’est pas toujours le cas. » Le cavalier a précisé ne pas avoir préparé spécialement ce Derby de la Laiterie de Montaigu, et avoir choisi de faire confiance à l’influx naturel et à la bonne volonté de sa monture, qui a rejoint ses écuries il y a 2 ans. « Ascot a eu un léger problème de santé qui a perturbé sa préparation physique en début de saison, c’est pourquoi j’ai veillé à ne pas le bousculer et de prendre le temps de le reconstruire entre deux obstacles, sauf s’il décidait lui-même de développer son galop. Je suis ravi de son parcours. Il est très généreux. »

Vous pouvez dès à présent télécharger le programme définitif de dimanche

En ce deuxième jour de compétition, les cavaliers du CSI5* avaient une double occasion de s’illustrer sur le terrain en herbe du stade du Val Porée.

Si la victoire au chronomètre dans l’épreuve du Conseil Départemental d’Ille-et-Vilaine revient au Français Nicolas Delmotte, aux commandes de Citadin du Chatellier, le plus grand défi du jour était sans conteste l’épreuve à 1,55m parrainée par le Conseil Municipal de Dinard.

Sur les 43 couples au départ, 16 ont signé un sans faute sur le tour initial et se sont qualifiés pour un barrage âprement disputé. Le chef de piste Jean-François Morand avait prévu une succession très délicate de virages serrés et de longues lignes droites où les cavaliers demandaient le maximum de vitesse à leurs chevaux. Prenant tous les risques, le vice-champion du monde par équipe Henrik Von Eckermann (SUE) a bouclé un tour gagnant, impressionnant d’aisance et de rapidité aux rênes de sa jument de 10 ans, Glamour Girl, qu’il monte depuis un an. Une partenaire avec laquelle il tentera aussi de décrocher la victoire du Rolex Grand Prix de dimanche.
En seconde position, avec son étalon de 11 ans Hello Vincent, le britannique Scott Brash, champion olympique par équipe 2012 et actuel n°4 mondial, se réjouissait de sa première participation au Jumping International de Dinard. Un concours dont il apprécie particulièrement le site, la qualité de l’organisation et la ferveur du public.

Sur les 5 cavaliers français au barrage, seule la jeune Alexa Ferrer a réussi à boucler un parcours sans pénalité avec Uranie de Belcour. Elle s’adjuge la 6ème place, une performance remarquable pour une première participation à un concours de ce niveau.

Vous pouvez dès à présent télécharger le programme définitif de samedi

Après une année blanche due à la crise sanitaire, du 15 au 18 juillet, le Jumping International de Dinard est de retour dans toute sa splendeur sur le mythique Stade du Val Porée décoré de rose pour l’occasion.

Au cours des quatre prochains jours, près de 350 chevaux et plus de 200 cavaliers, dont une cinquantaine parmi les meilleurs du monde, venus de 23 nations différentes, auront le plaisir de s’affronter sur 26 épreuves de niveaux 1*, 3* et 5* et jeunes chevaux de 7 ans, réparties entre la carrière en sable et le terrain d’honneur en herbe.

Les concurrents du CSI3* ont été les premiers à fouler la piste en herbe ce matin lors de l’épreuve au chronomètre à 1,45m, parrainée par Les estivales de l’équitation.

Parmi les 45 couples au départ, l’irlandais Dermott Lennon, associé à sa jument de 12 ans MJM Pursuit, s’est imposé en un temps de 69’’73. Enchanté de ce résultat pour sa première participation au concours breton après 18 heures de voyage en ferry, le cavalier déclarait : « d’habitude je suis cette compétition à la télévision, car à cette date je suis en pleine préparation pour le concours international de Dublin qui est très important pour nous. Je suis ravi d’être là cette année. Je suis venu avec 4 chevaux : 2 sept ans pour le CSI YH et 2 pour le CSI3*. » la française Margaux Rocuet s’est classée à la 2e place avec un chrono de 70’’60. La cavalière, basée aux écuries familiales de Saint Helen (22), était aux commandes de sa jument de 8 ans, Dubai du Cèdre, vice-championne de France des 7 ans en 2020. « C’est une guerrière, elle donne tout pour le cavalier, je l’imaginais très bien sur ce terrain en herbe. Elle a survolé les difficultés avec beaucoup d’aisance. »

Jérôme Guéry en grande forme dans le Prix de la Laiterie de Montaigu (CSI5*)

Le temps fort de la journée, réservé à l’élite mondiale engagée dans le label 5*, se tenait en fin d’après-midi sur le terrain d’honneur en herbe, avec le soutien de la Laiterie de Montaigu. Pour les 43 couples au départ, l’objectif était de ne pas bousculer une seule barre sur la première phase du parcours tracé par le chef de piste international Jean-François Morand, puis de boucler le reste du tour le plus rapidement possible pour l’emporter.

A ce petit jeu, c’est le belge Jérôme Guéry, aux commandes de Eras Sainte Hermelle, étalon SBS de 9 ans, qui s’impose en un temps de 32’’60. Pour le cavalier, sur le point de s’envoler pour représenter son pays aux Jeux olympiques de Tokyo « tout a fonctionné comme prévu, j’avais fait mon plan à la reconnaissance, c’est-à-dire aller vite mais ne pas dégrader mon cheval car c’est le premier jour de compétition. Il a été très à l’écoute, je suis enchanté de ce résultat. » En seconde position, Mathieu Billot, lui aussi retenu pour défendre les couleurs de la France à Tokyo, aura tenu la tête de l’épreuve pratiquement jusqu’au bout avec sa jument Ilena S. Il concède la victoire pour deux dixièmes de secondes (32’’67). « C’était une épreuve très agréable, Dinard est un concours magnifique, nous sommes ravis d’être là. L’organisation est parfaite, la piste aussi. Ilena vient de gagner deux épreuves ranking à Saint Tropez, elle a encore sauté magnifiquement bien, tout va bien. » La 3ème place revient à la jeune norvégienne Kim Emmen, 26 ans, en selle sur Warriors Glory, avec un chrono de 32’’69, qui se disait ravie de ce premier déplacement à Dinard.